Êtes-vous essoufflé lors des randonnées en altitude ?

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Vous êtes un amoureux de la nature, particulièrement des montagnes. Vos rêves de toujours consistent à les escalader, de grimper encore plus haut à chaque fois. De telles randonnées sont des activités physiques tout ce qu’il y a de sain. Vous respirez l’air pur, vous vous régalez des paysages magnifiques tout du long, vous vous trouvez dans un environnement calme, c’est le paradis en quelque sorte. Le seul hic, c’est que vous avez tendance à être essoufflé en altitude. Qu’est-ce qui se passe et comment y remédier ?

Pour quelles raisons est-on essoufflé en altitude ?

Marcher des kilomètres entiers ne vous ont jamais fait peur, au contraire, et vous en avez avalé un grand nombre au cours de vos randonnées. Tant que vous marchez sur des sentiers plats, tout va bien, mais voilà qu’une montée se présente. Vous commencez à l’attaquer et vous vous sentez toujours bien. Mais plus vous montez, plus vous sentez que vous respirez un peu plus fort et plus rapidement, ce qui ne vous incommode en rien. Vous continuez votre route mais vous vous rendez compte que vous fixez vos yeux sur le sentier, uniquement dessus, vous n’arrivez plus à admirer le paysage alentour. On dirait bien que vous ne vous sentez plus aussi bien que cela et vous en avez la preuve lorsque, cette fois, votre respiration devient saccadée et qu’il vous semble que vous manquez d’air. Maintenant, il n’y a rien à faire, vous êtes obligé de faire une halte pour reprendre votre respiration. C’est ce qu’on appelle essoufflement, propre à tous les randonneurs, ne vous inquiétez pas. Cette sensation de manquer d’oxygène peut même arriver sur du sentier plat, si vous marchez à toute vitesse.

Que faire pour limiter la sensation d’essoufflement ?

D’accord, l’essoufflement n’est ni une maladie ni quelque chose qui n’arrive qu’à certaines personnes, mais vous aimeriez sans doute le limiter. Pour cela, plusieurs solutions s’offrent à vous, suivant les conseils sur http://essoufflement.fr : avant de partir en randonnées, vous entraîner suffisamment, c’est-à-dire faire en sorte d’être en très bonne condition physique. Cela implique avoir une alimentation équilibrée, une bonne hydratation, une bonne qualité de sommeil, bref, une hygiène de vie saine. Puis, au moment de partir, essayez de vous encombrer le moins possible, soyez le plus léger que vous le pouvez. Ensuite, une fois que vous êtes en plein dedans, marchez plus lentement, réduisez votre vitesse. Mais il y a une autre méthode tout aussi efficace pour limiter l’essoufflement, c’est de mieux gérer votre respiration. Comment procéder ? Lors des montées, puisque vous faites davantage d’effort, vous avez besoin de plus de dioxygène. Respirez un peu plus par la bouche, en gardant la bouche semi-ouverte, vous sentirez aussitôt que le débit d’air qui pénètre dans vos poumons est plus important et vous vous sentirez moins essoufflé. La respiration ventrale est tout aussi efficace, car grâce à cela, vous pourrez emmagasiner plus d’air, le volume d’air aspiré est plus grand et le tout, avec bien moins d’efforts.

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